L’Hôtel Seven Paris fait son show avec la suite Cabaret

De lourds rideaux en tissus peaufinent l’esprit de scène et de spectacle…

Du rouge et noir, du glamour et de la sensualité, la nouvelle suite Cabaret de l’Hôtel Seven Paris**** imaginée par l’atmosphériste Sandrine Alouf est la promesse d’une expérience inédite et confidentielle dans l’univers mythique du spectacle. Désormais la scène la plus privée de Paris…

UN HÔTEL ATYPIQUE AUX SUITES ORIGINALES

Connaissez-vous l’Hôtel Seven Paris ? Il s’agit d’un hôtel parisien vraiment atypique appartenant au groupe Maranatha. 28 chambres avec des lits en lévitation et 7 suites toutes décorées de façon unique et très originale. La plus célèbre est sans nulle doute la 007 qui comme son nom l’indique est consacrée à notre espion préféré, James Bond. L’Hôtel Seven Paris est le premier chapitre d’une histoire à écrire pour chaque client. Combien sont-ils à avoir passé le pas d’une demande en mariage dans l’une de ses suites ? Peut-être celle de Marie Antoinette, sublime avec ses tons très clairs rehaussés de petites touches fluorescentes. Du rose, du turquoise, du vert, des couleurs pétillantes viennent réveiller l’apparente tranquillité des lieux. Peut-être La Sublime – tout de blanc immaculé – a-t-elle servi d’écrin à ces élans de romantisme ? Pour écrire de nouvelles histoires, l’Hôtel Seven Paris joue la carte du glamour et de la sensualité avec une nouvelle suite. Cette dernière, qui porte le nom de Cabaret, remplace la suite Alice aux Pays des Merveilles dont la décoration trop enfantine et trop classique n’a pas permit à la magie d’opérer.

UN ESPRIT TRÈS PARISIEN ET FÉMININ POUR LA SUITE CABARET

Cette nouvelle suite Cabaret promet quelques nuits chaudes en perspective… Elle a été réalisée par Sandrine Alouf, qui se définit elle-même non pas comme une décoratrice d’intérieur mais comme une atmosphériste voire une scénographe. Refusant les étiquettes, Sandrine Alouf exprime son talent à travers de nombreux métiers du design. Elle dessine les meubles, les moquettes, les papiers peints (sa collection Vestiges d’Avenir est sublime) des hôtels qu’elle redécore. L’Hôtel Empire, l’Hôtel Splendor, l’Hôtel Jardins de Montmartre, l’Hôtel Excelsior à Nice, l’Hôtel Montmartre Mon Amour, l’Hôtel Secret de Paris, l’Hôtel Sublim Eiffel, l’Apostrophe Hôtel et le One By The Five – qui a servi de référence pour le Seven – ont vu leurs espaces réaménagés par ses soins et sa sensibilité artistique. Les mises en scène sont autant de voyages immobiles ou d’expériences uniques pour les clients de ces hôtels. Pour la suite Cabaret de l’Hôtel Seven Paris, Sandrine Alouf voulait « évoquer quelque chose de très parisien, de très féminin et de très sensuel ». Un sacré challenge en forme de contrepied sachant que le point de départ était la suite Alice aux pays des merveilles, à l’opposé de ce qu’est aujourd’hui la suite Cabaret. Pour ce nouveau projet, Sandrine Alouf n’avait pas envie de « valoriser une scène de cabaret plutôt qu’une autre mais plutôt d’évoquer la femme mise à l’honneur dans cette suite ».

LA SUITE CABARET IMAGINÉE COMME UNE SCÈNE PRIVÉE

Chaque détail est pensé. Le papier peint en bas résille, l’évocation du corset sur un pan de mur, le miroir du plafond dont la matière matifiée permet d’estomper la réalité crue et de rendre une scène tout en subtilité, la barre de pole dance, la tête de lit présentant 3 illustrations du monde du cabaret, l’épaisse moquette noire, le double podium lumineux sur lequel est posé le lit, la bergère en velours noir, le jeu des rideaux qui évoquent sans conteste la mise en scène mais aussi ce hublot qui sépare la chambre de la salle de bain et qui permet d’observer celui ou celle qui se fait une beauté et un certain voyeurisme. Cette salle de bain est d’ailleurs pensée comme une loge d’artistes, avec ses multiples lampes, où l’on se prépare avant de passer sur scène. Cette suite permet à ceux qui s’y trouvent de se mettre en scène. Le décor magnifie cette mise en scène grâce à d’autres détails. « Un énorme travail de jeux de lumière est rendu possible grâce à une domotique très simple mais très personnalisable » explique Sandrine Alouf. Chaque client va pouvoir créer ses zones d’obscurité ou de lumière afin de magnifier le spectacle dont il est le metteur en scène. Dernier détail qui a son importance, une playlist d’inspiration music-hall et cabaret peaufine l’atmosphère intimiste et coquine de l’endroit. Une bien jolie suite pleine de promesses…